Un assassin, qui se fait appeler le Prince, exécute des mères de famille sous les yeux horrifiés de leurs jeunes fils âgés de 7 ans. Opérant à l’arme blanche avec une rare sauvagerie, le meurtrier taille ses victimes en lanières. Telle est la punition qu’il inflige. Mais qui punit-il ? Et de quoi ?
Pour répondre à ces deux questions fondamentales, le commandant Falier s’adjoint les services du professeur Bareuil, spécialiste des crimes rituels, « retraité » de la Sorbonne, et de Jeanne Lumet, qui fut sa plus brillante élève. Or la jeune femme est mère d’un petit garçon de 7 ans. Détail qui n’échappera sans doute pas au Prince…
Dès les premières pages, l’auteur nous plonge dans une descente vertigineuse au fin fond de la folie meurtrière. Certaines figures cauchemardesques prennent vie dans notre réel. Le Prince est de celles-là. Gageons que cette créature qui se nourrit de nos peurs hantera longtemps nos mémoires.
*Merci aux Editions La Bourdonnaye pour ce Sp*
Ce fut Cauchemardesquement Bon, *Je sais ce mot n’ hésite pas, enfin pas encore ;p, mais je n’ai rien trouvé de mieux lol* une très belle découverte avec une intrigue de dingue. Mon petit coeur à eu plusieurs ratés, à battu très vite et a eu très très peur *l’auteur sait tenir en haleine son audience* mais a finalement survécut à ces 213 Pages, alors que ce n’était vraiment mais VRAIMENT pas gagner d’avance.
Dès les premières lignes on commence déjà à Angoissé, notre première rencontre avec le Prince ne se fait pas sans heurte *j’ai cependant réussi à dormir donc yessss, pas si terrifiant que ça le mec ;p*
Nous avons affaire ici à un Mégalo qui pense que s’acharner sur la mère de quelqu’un en la traitant de Satan apporte Libération aux petits garçons âgés de 7 ans. A chaque fois le père est tué d’une balle dans la tête et pour la mère toute une théâtralisation, le fils est assis sur un sorte d’échafaudage créer avec les meubles de la maison et doit regarder sa mère ce faire tuer par des coups de sabre d’une horrible manière et sous ce tableau il meurt à cause du choc émotionnel. *Je vous ai donné envie de fuir, mais non restez encore*
L’enquête est mené par le presque retraité commissaire Falier qui fera appel à un historien spécialiste des rites le professeur Bareuil qui face à la difficulté de l’enquête, va lui demander de faire appel à une spécialiste de l’orfèvrerie moyen-orientale du XIIIe siècle Madame Jeanne Lumet. Il y’a cependant un Hic, Jeanne à le profil des femmes tuées par Le Prince, elle est la maman d’un enfant de 7 ans et on se demande pourquoi Bareuil a fait appel à elle, alors qu’ils ne sont pas en bon terme et ne se sont pas vus depuis des années.
Une enquête un peu mal mené par le commissaire Falier, et il n’est pas aidé car certaines personnes de son entourage comme Bareuil lui cache des choses, sans compter q’ un journaliste du parisien se mêle de l’enquête et donne de faux indices à la police ce qui leur fait perdre énormément de temps. Manque de chance aussi pour eux, le tueur à deux ou trois pas d’avance sur eux et Jeanne est peut être sa futur victime.
Une enquête policière comme je les aime, une bonne intrigue, des vrais et fausses pistes à exploiter sans compter qu’on est tenue en haleine tout le long, à un moment donné j’ai cru savoir qui était le tueur mais fausse joie je me suis complètement trompé. En tout cas j’ai passé un agréablement moment de lecture, flippant certes mais c’est tellement bon, je recommande.
Laisser un commentaire