Chez Edition Harlequin, 240 pages
Lui appartient à la catégorie d’hommes désormais bien identifiée des salauds magnifiques. Un businessman surdoué et sexy à tomber, mais qui a oublié son cœur au vestiaire. Elle est plutôt du genre girl next door qui aime les choses essentielles et simples, les gens sympas et chaleureux. En somme, la vie réelle et les êtres humains… Rien n’aurait dû les rapprocher… Pourtant, ils ont un point commun. Un seul. Une (très) grosse source d’ennuis. Surprise ! Ce point commun va les ligoter pour quatre semaines par un contrat. Quatre semaines, pendant lesquelles elle devra jouer la fiancée follement amoureuse d’un type imbuvable et irrésistible…
Malgré une couverture des plus médiocre (mais qui décide des couvertures de bouquins franchement!!!) le résumé m’a tapé dans l’œil même si c’est du déjà vu et que la fin est sans surprise, je me suis laissé tentée par cette petite douceur.
Duncan Patrick est un PDG milliardaire déteste de la presse, réputé comme impitoyable en affaire, intimidant, égocentrique, et très désagréable de caractère (mais pas désagréable a la vue, oui oui c’est important, il ne peut pas avoir tous les défauts) aux yeux de tous.
Afin de redonner une bonne image à Duncan, ses associés lui soumette l’idée de fréquenter un jeune femme sympathique, sinon ils ne le soutiendront plus dans ses affaires.
Annie est une jeune institutrice avec le look de la parfaite bibliothécaire, simple, indépendante, mais avant tout une personne d’une grande générosité, une battante un tantinet naïve quand même!!!
Alors quand Duncan lui propose de jouer le rôle de sa petite amie pendant un mois, elle n’a pas d’autre choix que d’accepter afin d’éviter a son frère la prison car celui ci à détourner de l’argent de la société de Duncan.
Je sais ce que vous être entrain de penser l’issue est prévisible et bien vous avez…………………raison!!!
C’est du pur Harlequins, mais une histoire agréable, toute mignonne, une histoire de conte de fée avec des personnages attachant.
Duncan a été blessé par le passé par une femme et refuse de s’engager, d’aimer ( oui encore un!!!) et Annie est d’une bonté incroyable qu’elle m’a fait penser a Cendrillon avec ces petites souries sauf que là les souries se sont ces petites cousines qu’elle héberge et dont elle paie les études.
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