
Nous remercions les Editions Black Ink pour ce Service de Presse.
Je ne suis pas prête d’oublier mon coup de cœur pour « Le prince Charmant existe… » : une pépite avec un vrai vent de fraîcheur dans le monde de la romance. Toutes celles qui ont lu ce premier opus d’Anna Triss, n’avaient qu’une hâte : retrouver Rob et Val, et je vous avoue que j’étais hyyyyyper pressée de les retrouver aussi, surtout un certain rital, qui nous a obligé à ressortir « Nono le ventilo » de la cave !
Pouvez-vous me dire pourquoi, mais pourquoi donc Rob a quitté Val ? Mais qu’est-ce qui lui est passé par la tête ?? Elle a perdu le sens commun je crois. Quand j’ai lu cela dans le synopsis d’ « Amour, flingues et macaronis », je ne me suis dit, mais WHAT? Evidemment, l’auteure nous explique petit à petit ce qui a amené la jolie tatouée à rentrer en France avec sa fille Anya, qui a bien grandi depuis. Le moins qu’on puisse dire c’est que 7 ans après, la fille de Rob est devenue une adolescente, avec un sacré caractère. Elle en veut à sa mère d’avoir quitté Val et la Toscane aussi précipitamment. Cela va créer de nombreuses étincelles entre mère et fille.
Et Val de son côté ? Le pauvre (oui le pauvre !!), cela fait 3 mois qu’il se morfond. La femme de sa vie l’a quitté et son passé le rattrape dangereusement. Après de multiples tergiversations, il va se bouger et va endosser le rôle du macaroni chaud comme la braise qu’on adore. La reconquête de sa femme va être sa priorité !
J’ai adoré retrouver la plume d’Anna Triss, l’humour est toujours aussi présent. C’est aussi la clé de la réussite de ce diptyque. On passe beaucoup de temps entre le rire et le coup de chaud ! Val et Rob vont s’adonner à leur jeu préféré : à savoir se faire beaucoup de mal et beaucoup de bien en même temps : il faut être très doué pour ces choses-là ! Je dois reconnaître que, même si on comprend parfaitement les intentions de Rob et sa volonté de protéger sa fille, elle m’a quand même bien agacée pendant une bonne partie de ce roman. Sa perpétuelle hésitation entre « je veux mon mari » et « je veux divorcer » est fatiguant. Rob a une capacité à refouler ses sentiments, c’est impressionnant! Val m’a davantage touchée dans cet opus. Il a mis tout son cœur pour changer de vie, pour se racheter en quelque sorte et devenir quelqu’un de bien aux yeux de celle qu’il aime.
Lorsque tout vole en éclat, sa peine est poignante. Sa relation avec Anya est tellement attendrissante que je me suis dit à plusieurs reprises que Rob était aveugle et bien trop têtue, pour reconnaître que cet homme est le seul qui lui convienne ! Et dire qu’elle en doute…Je suis objective non?
Lorsque Rob et Val vont enfin refaire équipe, parce que vous vous doutez bien que cela va arriver (sinon on aurait virtuellement étripé Anna Triss), on retrouve alors tout ce qui fait l’essence de cette histoire : humour, érotisme et rebondissements. C’est pourquoi je mets la note de 4.5 pour cette opus, parce que le couple est à mon sens trop longtemps séparé dans la trame. Mais je mets aussi un coup de cœur, pour l’ensemble de l’histoire que j’ai dévorée et qui m’a apportée un énorme plaisir livresque. Inutile de préciser que la plume d’Anna Triss est à suivre de près !
Mention spéciale au couple formé par Nina et Giacomo : alors ces deux-là nous offrent des moments d’anthologie divins ! La scène au zoo, dans la fosse aux crocodiles, (non sans rappeler une scène du “Père Noël est une Ordure“), est dantesque ! Ils sont tellement drôles ! Lui devient légèrement « beauf » avec le temps et elle est particulièrement frappa-dingue ! Mais leurs échanges sont tellement croustillants. Vous les retrouverez d’ailleurs, dans un bonus écrit par Anna Triss, publié sur sa page auteure FB : on ne s’en lasse pas !
Pour Conclure, je dirais que déjantée et loufoque sont les maîtres mots de cette romance qui vous donne la banane tout au long de votre lecture. C’est un vrai plaisir, on s’attache aux personnages, on rigole, on voyage, on a chaud, très chaud (Val : le fournisseur des émotions…dans votre petite culotte !) Bref, on adore !
Il me tarde de découvrir la recette du semifreddo qui m’a donnée l’eau à la bouche !
Merci Anna pour cette excellente histoire, au plaisir de retrouver ta folle plume !
“Rien de pourra plus nous séparer…hormis la mort. Je suis son sanctuaire lumineux. Il est mon ténébreux refuge. Pour toujours et à jamais”
J’attends ce deuxième tome comme … les soldes (oui, c’est très important !) ou des vacances et là on lit le pitch et on se dit : c’est quoi ce bordel !!!! (Pardon pour la vulgarité !) qu’a fichu Valentino ?
Ben oui, qu’est-ce qu’on découvre : Robyn a quitté Val, sans un mot, et elle est repartie en France après plusieurs années de bonheur à Florence.
Je me lance dans ma lecture, à fond, carrément aux abonnées absentes, mais là c’est dur, comme vous en doutez bien, l’alchimie entre les deux qu’on avait adorée, dans le premier, est inexistante, vu la situation. Alors on ne perd pas l’envolée verbale de Robyn, même en pleine dépression amoureuse, elle n’abonne pas sa verve, ni ses mots et expressions colorées, zéro filtre et c’est encore pire pour sa copine Nina ! Cette dernière, ne nous épargne rien des désagréments de la grossesse, au point de bien rire, la scène de l’après-choucroute dans une Porsche, est juste énorme !
Tout ce qui avait fait que j’ai adoré le duo Robyn – Val peine à venir, ce qui va avec le choix de l’auteure de les avoir séparés. Quand Val décide de venir reconquérir sa femme, là, on retrouve toute cette tension verbale, sexuelle décuplée par leur séparation et les raisons de cette dernière.
J’ai ri, et halluciné sur leurs échanges, les situations rocambolesques qu’ils vivent, en me demandant quand même, Anna où vas-tu pêcher toutes ces idées ?
Ce n’est pas aisé entre Val et Robyn, ça rame, ça se sabote, ils ont peur, du coup, le personnage de Valentino apporte de suite sa touche, qui fait beaucoup à l’histoire, mais le lecteur ressent bien toute la difficulté qu’il a à se faire entendre auprès d’une Robyn entêtée (limite tête à claques parfois !). On découvre une facette plus vulnérable de lui, qui est émouvante, il va y mettre toutes ses tripes à retrouver sa femme. D’ailleurs, elle ne cesse de dire qu’elle aime encore son mari mais, je trouve que Robyn est légèrement girouette et geignarde lors de sa phase dépressive post rupture.
J’ai aimé retrouver la petite Anya qui a bien grandi, et noué une magnifique relation avec son beau-père ! Les joies de l’adolescence sont vues au travers de chacun des personnages, un vrai poème, surtout avec de tels caractères trempés. Mais, certains nous étonnent par leur subtilité pour arriver à dompter l’adolescente.
Je trouve que la mafia est un peu trop « gentillette » dans ce tome, pas dans les événements passés mais plutôt présents. On sent la menace mais de façon un peu trop légère, à mon goût, c’est un peu facile, comme le dénouement auquel je n’ai pas adhéré.
J’ai pris plaisir à retrouver tous les personnages, avec leurs langages sans pareil. J’ai passé un agréable moment à rire, les sentiments sont là, certaines scènes ou révélations sont bouleversantes, pourtant je n’ai pas autant ressenti la tension qu’il y avait dans le premier. Peut-être parce qu’il n’y a plus l’effet de surprise sur ce duo, avec une suite. La menace est très présente, or, elle passe en second plan par rapport à la romance et manque de punch du coup.
Mais rassurez-vous, « Valenbyn » vous réserve de belles surprises, de beaux moments grâce à la superbe plume d’Anna Triss ! Foncez les retrouver pour savoir ce qui s’est passé !
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