Benjamin est un grand adolescent d’un peu plus de 30 ans qui semble n’avoir qu’un but dans l’existence : défendre son titre âprement gagné de « roi de la lose ». A son âge, il ne sait toujours pas quoi faire de sa peau de vieil enfant ou de jeune grande personne, c’est selon. Il se nourrit toujours de junk food, passe son temps devant les séries télé et collectionne méticuleusement faux plans et galères.
Il fait le désespoir de ses parents, d’autant que même son jeune frère est déjà casé, avec la déjà chiante Marie-Clémentine, et déjà bientôt père. L’heure de l’ultime remise en question a donc sonné. Bardé de sa bonne humeur et de son inoxydable foi en la vie, Benjamin le Bordelais part ouvrir un bar à vins… en Laponie. Ah ! la Laponie ! Le pays des rennes, du froid, du Père Noël et de Lotta, jeune femme volage et incertaine de ses choix, mais belle comme le diable.
Autant d’embrouilles au centimètre carré, c’est un appel à la gourmandise !
Alala que j’aime pas quand un livre ne m’a pas transporté, je ne sais jamais quoi dire dans ce moment la, mais faut bien dire quelque chose. J’avais Flashé sur la couverture et ensuite le résumé, Bridget Jones version Mec je me suis dis que j’allais m’éclaté . Je m’attendais donc à beaucoup d‘Humour et à Rire à m’en faire les Abdos. J’avais même tout préparé…
You see le Pop-Corn était de la partie, bon Shemar aussi s’est invité :p, j’aurai aimé dire qu’il m’a tellement Perturbé que Benjamin est passé à la trappe mais malheureusement non. Benjamin ne m’a juste pas fait Adhéré à sa vie, ni à son Humour *Que je trouve très lourd*, ni à son cynisme, son ironie, et pour finir à son caractère *Je le trouve Pitoyable et Pathétique*. Et pourtant c’est un mec Intelligent, un bon Job et il a l’ air d’être doué dans ce qu’il fait, mais c’est le reste, ça Vie est juste Triste et il obtient pour moi la palme du plus grand Boulet qu’il m’a été donné de voir. Je ne l’ai pas aimé lui donc forcément l’histoire non plus au final je me suis ennuyée, j’ai fini mon bol de pop corn et je me suis réconfortée en regardant Shemar.
Une grosse déception pour moi, je ne pense pas avoir le même humour que l’auteur et pourtant je suis une fille qui rit facilement.
Merci aux Éditions La bourdonnaye pour ce service presse.
Mon acolytes n’a pas vraiment pris son pied en lisant ce roman, elle s’était dis “ça c’est pour Kiera” elle connait bien la bête mon binôme…mais voilas j’ai les fesses entre deux chaises…
Une petite centaines de pages où l’on découvre un Benjamin trentenaire un peu désœuvré et un poil pathétique.
Il est un peu le pote que l’on a tous, célibataire, encore 10 ans de cérébrale attitude mais attachant que l’on aurait tendance à prendre pour notre ours Teddy de notre enfance à lui faire plein de câlin…amical j’entends, le bon pote quoi.
Benjamin est un croisement entre Jean Claude Duss et Bridget Jones avec des rêves plein la tête…et ça très peu ont le courage de faire ses valises et de partir voir si l’herbe est plus verte ailleurs…tout claqué comme ça pour un pays où la langue est imprononçable, où il fait nuit 20h sur 24h, où la vie est rythmé au nombre de couche de vêtement que les habitants portent.
Quand au roman il est écrit avec beaucoup de franchise, avec un humour un peu décalé mais pour ma part il ne me restera pas en mémoire, il m’a permis de passer le temps dans le métro alors merci à l’auteur pour ce voyage en Finlande, pendant 2h je me suis mis à rêver de jours meilleurs dans un pays où le soleil, le sable chaud, et les abdos mâles seraient mon quotidien…
Et la voie aiguë et stridente du métro me sors de ce rêve…maudite vie métro boulot dodo…
Laisser un commentaire