~Edition Hugo Roman ~ 297 pages ~
Dans ce quatrième et dernier volume de la série Love Game, on retrouve nos héros, Kate et Drew, une semaine avant leur mariage. C’est Drew le beau gosse, amoureux comme jamais, qui reprend le fil du récit, sur ce ton délicieusement irrévérencieux et follement drôle qui fait craquer toutes les filles… Tout semble aller pour le mieux dans le meilleur des mondes. L’attirance sexuelle du jeune couple est toujours aussi irrépressible. Leur complicité est encore renforcée depuis la naissance de James, leur bébé d’amour, aussi adorable qu’épuisant… On devrait se diriger en pente douce vers un happy end, le long d’un chemin semé de roses. Mais ce serait sans compter sur les copains de nos amants terribles. Cette joyeuse bande leur a concocté une petite virée à Las Vegas, histoire que Drew et Kate enterrent leurs vies de garçon et de jeune fille en beauté. Mais à Sin city, la ville du péché, entre le calme feutré d’une villa grand-luxe du Bellagio et l’ambiance trépidante des boites de nuit du Strip, une série d’évènements imprévus va tout remettre en question… Toujours aussi trépidant, drôle et sexy, Tied clôt la série Love Game en beauté, pour le plus grand plaisir de ses lectrices (et de ses lecteurs).
Voilà le dernier tome, tant attendu… et tant redoutée. Parce que, avouons le, nous sommes curieuses, mais n’avons pas envie de quitter définitivement les personnages de cette série.
J’avais oublié à quel point j’aime la manière dont les héros s’adressent au lecteur… Comme un bon pote qui nous confie son histoire, en y insérant ses pensées et des flash-back… Dans ce 4eme tome, Drew nous raconte son mariage et la semaine qui l’a précédé.
Au vu de leur histoire cahotique, organiser des EVG et EVF à Las Vegas, pour Drew et Kate, n’est pas une grande idée… Et pourtant, la pression de leurs amis les emmènent à accepter l’idée… Dans “la ville du péché”, les tentations sont grandes… Le reflet d’une vie que Drew a adoré vivre… Celle de “l’avant Kate”…
Est-ce que la vénération que Drew a pour sa future femme suffira à l’empêcher de tout gâcher ? Est-ce que le papa gâteux qu’il est devenu sera plus fort que ces instincts de séducteur ? Est-ce que ces enterrements de vie de garçon et de vie, ne sonneront pas le glas d’une relation qui devait se solder par un mariage une semaine plus tard ?
Leur amour et l’attirance qu’ils ont l’un pour l’autre n’a pas faibli… Drew est toujours autant arrogant, coléreux et jaloux… Rien n’a vraiment changé…. Après tant de rebondissements dans leur relation, tant d’années de vie commune et un enfant, on peut s’attendre à ce que Drew et Kate n’aient plus rien de nouveau à nous raconter… Et, au fond, c’est un peu le cas…
Ce tome est un super épilogue, qui nous apprend une chose : si un homme peut devenir meilleur auprès d’une femme, il ne change pas ! Drew est et sera toujours le plus attachant des connards. On tombe un peu plus amoureuse de ce super papa…même s’il a parfaitement conscience qu’un enfant est un atout supplémentaire dans sa panoplie du super séducteur…
Si ce “happy end” laisse présager une vie à la “Ils vécurent heureux….”, on peut aussi parier qu’elle ne sera pas un long fleuve tranquille. Mais, on n’en attend pas moins de Drew et Kate…
Drew c’est mon connard préféré, je l’aime ce gars, il tiendra toujours une place importante dans mes Book-Boyfriends et cela malgré Ace. Un tome que j’attendais avec Impatience et je me suis régalée du début à la fin car ce mec est juste extra, tout est top chez lui, que ça soit sa bêtise, ses actions romantiques ou pas d’ailleurs, sa jalousie. Enfin c’est un tout j’aime autant ses défauts que ses qualités.
JE L’AIME, JE L’AIME, JE L’AIME
Oui j’ai encore pété un câble, mais j’ai mal au cœur car je ne vais plus retrouver cette joyeuse bande à moins de relire et relire encore une fois tous les tomes.
Comme le dis Marina, ils n’ont rien de nouveau à nous raconter mais on prends plaisir à les lire car Emma Chase à une façon bien à elle de raconter les choses.
C’est Drew qui nous parle, c’est lui qui nous raconte et on a cette sensation énorme d’être juste à côté de lui et tenir la conversation comme avec un pote. Et vous voyez ça, moi j’achète comme dirai notre ami Jean Marc.
Une suite excellente à mourir de rire, on passe un très bon moment du début à la fin et cela même si on sait comment tout cela va se terminer.
Love Game est une addiction pour laquelle on ne se lasse pas et ou au contraire on en redemande à chaque fois.
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