L’abécé(suici)daire de la ligne 13 est le premier livre qui rend hommage aux 610 000 usagers qui empruntent chaque jour le tronçon. Depuis 1911, les voyageurs qui sont amenés à prendre ce métro doivent faire preuve de beaucoup de courage et de patience. Car la réputation du tronçon Châtillon-Montrouge-Asnières-Gennevilliers-Les Courtilles/Saint-Denis-Université n’est plus à faire : c’est la ligne de tous les ennuis et de toutes les galères.
Cet abécédaire évoque tous les éléments qui font la « beauté » de la ligne : ses incidents techniques improbables, son histoire complexe et ses caractéristiques bien particulières. Tous les usagers de la RATP peuvent se retrouver dans cet ouvrage qui prend le parti de rire plutôt que de déprimer…
Sur les conseils de Stéphane Pocidalo, je me suis donc jetée les deux pieds dans la rame de la ligne 13, un périple dès plus enrichissant, insolite et brindezingue.
A travers 58 pages, l’auteur nous fait l’ABC de la mythique rame de métro, l’unique, la seule rame où tout peut arriver, je dis bien tout!
Avant toute chose je suis moi même une parisienne, et oui on peut pas être parfaite, je suis donc une Transilienne accomplie, une pro de la rame, j’ai des années d’expériences, de pratique intensif ce qui m’a valut mes 5 étoiles Transilienne, on ne peut plus fier d’ailleurs, mais des histoires qu’elles soient sordides, poilantes, ahurissantes, incroyables, chaque Parisien en a à son actif et sinon honte à toi pseudo Parisien.
Et Stephane Pocidalo en démontre certaines les plus vrai, les plus récurrentes, mais cher Trentenaire Parisien, il m’a manqué certains points, certaines situations, certains comportement, j’ai passé 58 pages à sourire, à revivre certaines situations passées, alors merci pour ses souvenirs agréable parfois et plus souvent à s’arracher les cheveux.
Alors je n’aurai qu’une chose à dire, toi petit provincial vient découvrir ” l’Eldorado, le must du monde souterrain, le transport qui rend heureux”, jouir des cinq sens, vivre une expérience dès plus exceptionnel: la ligne 13.
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