Dès le début, j’ai senti une tension, elle était archi palpable et cette sensation s’est confirmée au fil des pages avec cette même tension qui montait… montait et donnait envie.
L’atmosphère instaurée entre Erin et Rob n’était pas franchement folichonne, c’était vraiment pas sympa et ça ne donnait pas envie.
Les points de vue de Brendan (que des flashbacks) étaient trop clairs, on sait ce qu’il pense trop rapidement, j’aurais préféré un peu plus de mystère. En revanche, je n’avais pas imaginé le traumatisme qu’il portait et j’ai trouvé intéressant de pointer le doigt la dessus.
Hormis ça, j’ai bien aimé Brendan, je ne saurais pas trop dire pourquoi mais il émanait quelque chose de lui qui me plaisait.
On retrouve une femme qui s’était éteinte et qui finit par se rallumer, par retrouver la flamme, le bonheur.
Il y a un vrai questionnement sur sa vie et je pense que les mots qui les résument le mieux sont : “vivre dans le confort ou vivre dans le bonheur”.
Bien que la psychologie des protagonistes ne soit que très peu travaillée, je les ai bien aimés, et j’ai bien aimé l’histoire. En revanche, j’ai été assez déçue par les derniers chapitres (pas les tout derniers, les avant derniers on va dire lol). J’ai trouvé qu’Erin était d’une faiblesse déconcertante, en soit on peut le comprendre mais ça j’ai plutôt eu l’impression d’une fin “bâclée” pour pouvoir avancer. C’est un peu dommage.
Merci aux éditions Harlequin.
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