“Je suis un grand retardataire, une personne qui a appris toute sa jeunesse à dire « je ferai plus tard » et qui, à force de cumuler des « plus tard » dans son quotidien, est devenu un être retardé. Je suis un citoyen bourré de droits qui rend toujours ses devoirs lorsqu’il n’a plus vraiment le choix. Je suis un vrai Parisien.
Trentenaire et parisien.
Au fil des saisons, je me suis arrêté sur trente aspects qui font de moi un trentenaire (presque) responsable, une personne qui déteste sa ville par amour, qui se plaint avec satisfaction et, finalement, qui profite de la vie en soupirant. Trente définitions qui permettent de mieux appréhender cette nouvelle décennie, celle où les moments insouciants cohabitent avec de nouvelles obligations. Voici le Dictionnaire (subjectif) du trentenaire parisien ! ”
La dur vie du Trentenaire célibataire, j’ai eu presque la larme à l’œil, j’ai bien dis presque!!
Stéphane Pocidalo, nous raconte en 80 pages ses trente définitions personnel de l’arrivée fatidique qu’est le nombre 30.
30 ans, pourquoi on a tant de mal à l’accepter ce chiffre ? ok c’est un chiffre impaire, oui j’ai une phobie des chiffres impaire, allez savoir pourquoi c’est juste que je ne les aime pas!!
Pourquoi toute notre vie passé est remise en question ? A croire que la fin du monde est proche et qu’il faut que l’on fasse tout ce qu’on aurait du faire avant ses fameux 30 ans. La sénilité nous guetterai? Je devrai peut-être me réserver une chambre à la maison de retraite du coin.
30 ans c’est l’arrivée dans la salle de bain de la crème anti-ride à 100 euros, oui il faut bien ça pour éradiquer ces premières rides, vade rétro satanas!!
Mais bien sur c’est sans compter ces petits maux jusque là inconnue, qui sont plus qu’imaginaire, le corps humain est un traite sans vergogne qui nous rappel hey l’ami t’as 30 ans, c’est fini!!
Dans son roman Stéphane Pocidalo raconte ses 30 ans, mais aussi sa vie parisienne, alors le mélange 30 ans + parisien = dépression ? Pourquoi pas du moins pour le parisien moyen qui doit vivre dans un placard, on est pas tous né avec une cuillère en argent ou chanceux dans tous les domaines, ça existe ce genre de spécimen??
A travers quatre saisons c’est comme un film déroulant le genre super huit en noir et blanc, le constat raconté avec beaucoup d’humour, de simplicité, avec un regard presque réaliste, certains se reconnaitrons à travers ses anecdotes.
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