*Je remercie Oriane pour ce service de presse*
Blue Carla, un nom exotique pour une jeune femme à fort caractère, et assez représentatif de la personne très sure d’elle, libertine qui voit sa vie en bleu chaque fois qu’elle foule les portes de L’Erotica Club 1 vendredi sur 2.
Et pourtant, cette jeune femme, qui ne veut pas d’attaches, va voir son petit univers bien gardé subir des perturbations d’un niveau 8 quand elle fera la connaissance de Romain qui va bouleverser ses deux mondes.
Car dans sa vie de tous les jours Blue Carla est Clara Doucet et contrairement à son autre personnalité, elle est beaucoup plus réservée, craintive, renfermée sur elle et a peur. Peur de se laisser aller, peur de vivre sa vie dans le monde réel et cache une blessure qu’elle a du mal à renfermer. Romain n’y a absolument pas sa place et pourtant elle n’a pas le choix, elle va être obligée de le côtoyer tous les jours. Une situation très difficile quand ils brûlent de désir l’un pour l’autre.
Une romance que j’ai bien aimée, car je voulais savoir si cette femme à la personnalité si complexe qu’on a du mal à suivre, aller se lâcher un jour, accepter que Romain fasse parti de ses 2 univers.
Je voulais aussi connaître son histoire, le pourquoi de son refus incessant et qui à la longue fini par nous énerver. Elle n’arrête pas de s’éloigner quant au fond d’elle, elle veut de lui dans ses 2 mondes.
Oriane a une très belle plume captivante et sensuelle, on est très vite pris par l’histoire de Clara.
Cependant, même si le récit a été bien développé, je n’ai pas été touché au final par son histoire à cause de mon agacement sur son comportement. Est-ce que je l’ai comprise ? OUI, on ne ressort pas d’un tel événement en n’étant pas marqué ? Mais doit-on conditionner le reste de sa vie et s’empêcher d’être heureuse pour cela ? NON, pour moi, elle a exagéré son châtiment et fait baisser le capital sympathie que j’avais pour elle ^^.
J’ai aussi un autre regret, c’est la fin qui vient un peu trop vite à mon goût, quelques chapitres de plus n’auraient pas fait de mal.
Malgré ces petits reproches, c’est quand même une belle histoire et on y passe un bon moment.
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