*Je remercie Nisha Edition pour ce Service Presse*
J’étais impatiente que l’intégrale de Alia sorte afin de me plonger dans l’histoire. Un « Robin des bois des temps modernes » ne pouvait que titiller ma curiosité. Et pourtant si il y’a une chose que je retiens de ma lecture c’est le chiffre 4.
4 comme le nombre de fois où j’ai repris Alia et où j’ai, à chaque fois, laissé tomber ma lecture (et toujours au même endroit) . Pourquoi cette persistance ? Car n’ayant pas aperçu d’avis négatif, je me suis dis que j’avais sûrement un problème. J’ai insisté pour, au final, aboutir au même résultat… Ce livre n’est tout simplement pas pour moi.
J’ai eu du mal avec l’écriture de l’auteure pour laquelle il m’a manqué de fluidité. Il m’a manquait d’autre chose… que je ne saurai exactement qualifier. Je n’ai pas ressenti le petit truc, la petite étincelle qui me permet d’accrocher à une histoire. Et je ne vous parle même pas de Vadim, qui est, mon Dieu, juste exécrable à souhait ! Il est trop centré sur sa personne et trop contradictoire. Cela ne m’a pas fait rêver du tout et ses chevilles sont tellement enflées que je me demande comment il fait pour marcher avec .
Il m’a tellement énervé que, finalement, j’ai pas eu envie d’en découvrir plus sur sa personne et son histoire. Je n’ai même pas fait la connaissance d’Alia pour vous dire, une première pour moi. En général c’est la nana qui m’énerve à un tel point que je pose mon livre pour ne pas le jeter, mais Vadim m’ait juste sortie par les yeux.
Ce qui est absolument dommage car je sentais quand même une belle histoire venir mais son comportement ne m’a juste pas donné envie d’en savoir plus. J’aime les « connards », je leur voue même un culte, mais celui-ci est atteint du syndrome de la connerie et c’est rédhibitoire pour moi.
Je suis donc hyper hyper déçue, d’autant plus que je n’aime pas faire un abandon et surtout aussi tôt dans l’histoire.
Laisser un commentaire